Die Grundausrüstung
Darstellungszeitraum: 1915-1918 /
L'équipement de base
reconstitution 1915-1918

1.Feldmütze (Krätzchen) Mod.1910 und
Einheitsfeldmütze 1917 mit Vorstoß und
Besatzstreifen in Resedagrün. Weiter gültig
bleiben die Landeskokarden. Für Bayern gilt
die Einheitsfeldmütze 1917 nur mit feldgrauem
Stoff. Wenn die Feldmütze Mod.1910 weiter
getragen wird, sollte man den roten Besatz-
streifen mit einem Abdeckband in feldgrau
bedecken. Stellungskrieg heißt Tarnung!/
Mütze Mod.1910 et Einheitsfeldmütze 1917
avec bandeau vert réséda. Les cocardes
nationales restent présentes. Pour la Bavière,
la Einheitsfeldmütze 1917 est entièrement con-
fectionnée avec du tissu feldgrau. Si la Mütze
Mod.1910 continue à être portée, il y a lieu de
recouvrir le bandeau rouge avec un morceau
de tissu feldgrau. Guerre de position, signifie
camouflage !

2.Pickelhaube (Helm) Mod.1895 (Bayern Mod.
1896) aus Leder u. 1915 (Bayern Mod.1916)
aus Leder und abschraubbarer Spitze.
Helmüberzug aus schilffarbenem (graugrünem)
Baumwollstoff für alle Infanterie- und Feldartil-
lerieregimenter mit, aus grünem Tuch ange-
brachter, Regimentsnummer. Es sind auch
Helmüberzüge ohne Regimentsnummer möglich.
Pickelhauben aus Plastik sind nicht gestattet! /
Pickelhaube (casque à pointe) Mod.1895
(Bavière Mod.1896) en cuir et 1915 (Bavière
Mod.1916) en cuir et avec pointe dévissable.
Couvre-casque en coton de couleur gris-vert
pour toutes les unités d'infanterie et d'artillerie de
campagne avec le numéro de régiment en vert
cousu sur le devant. Autre possibilité, laisser
le couvre-casque sans numéro de régiment.
Les casques à pointe en matière plastique
ne sont pas autorisés !

3.Stahlhelm Mod.1916 und 1918. Der deutsche
Stahlhelm wurde zum ersten Mal bei der
Schlacht von Verdun ausgegeben. Er besteht
aus einem Stück und gilt als der beste Helm des
ersten Weltkrieges. Mit dem Modell 16 kann
man bis Ende 1918 Darstellungen machen.
Dieser Helm hat den gleichen Kinnriemen wie
die Pickelhaube. Er ist am Knopf Modell 91 im
Stahlhelm befestigt. Diese Lösung war nicht
sehr befriedigend da der Kinnriemen mehrfach
herausgefallen ist und der Helm nicht mehr fest
auf dem Kopf saß. Ab 1918, wurde ein neues
Helmmodell eingesetzt. Dieses unterschied sich
zum Helm M16 durch die Befestigung des Kinn-
riemens am Innenfutterband des Helmes. Dafür
fiel die Niete an der Außenseite weg. Ab August
1918 kam ein Versuchshelm an die Front.
Dieser Helm hatte zwei Ohrenausschnitte um
das viel kritisierte Rauschen zu bekämpfen. Er
wurde jedoch nur in geringer Zahl ausgegeben.
Zum Thema Mimikri-Tarnung. Diese sollte nur
in sehr später Darstellungen gezeigt werden,
da sie erst im August 1918 eingeführt wurde/
Stahlhelm Mod.1916 et 1918. Le Stahlhelm a
été utilisé la première fois lors de la bataille de
Verdun. Il est fait d'une seule pièce et est con-
sidéré comme étant le meilleur casque de la
1e guerre mondiale. Le modèle 16 permet de
participer à toutes les reconstitutions entre
1916-18. Ce casque est muni de la même ju-
gulaire que le casque à pointe. Elle se fixe au
bouton Mod.91. Cette solution n'était pas satis-
faisante. Souvent les jugulaires sortaient de leur
logement et le casque n'était plus fixe alors. On
introduisit en 1918 un nouveau casque. Il se
différenciait du précédent par la fixation de la
jugulaire sur le cerclage en acier à l'intérieur du
casque. Les crochets de fixation au bas du cas-
que disparaîssent alors. En août 1918, l'armée
essaya encore une autre version. Cette dernière
possèdait deux échancrures au niveau des oreil-les pour supprimer les turbulences dues à l'air.
Il n'en fut fabriqué qu'une petite quantité.
Parlons du camouflage. Il n'est a utilisé que
lors de manifestations en relation avec la fin du
conflit. Officiellement il n'a été introduit qu'en
août 1918.

4.Halsbinde aus grauem oder grünem Stoff.
Jeder Soldat erhielt bei der Einkleidung
zwei Halsbinden /
Halsbinde (tour de cou) en tissu de couleur gris ou vert. Chaque soldat en touchait
deux exemplaires.

5.Feldrock Mod.1907/10, Feldrock Mod.1913
(Landsturmschnitt) oder Vereinfachter Feldrock
Mod.1914 (Bayern Mod.1915). Alle in feldgrauer
Farbe. Knöpfe je nach Landeskontingent
(für Bayern Löwenknöpfe; für Preußen Kronen-
knöpfe; usw.). Schulterklappen mit den Regi-
mentsnummern und/oder Namenszüge, in rot.
Schulterklappen mit weißer Paspelierung, bis
auf wenige Ausnahmen, in der gesamten kaiser-
lichen Armee getragen. Um die Herstellung
Kosten der Uniformen zu mindern hat die Armee
die Feldbluse Mod.1915 (Bayern Mod.1916) in
feldgrauem Stoff, mit schmäleren Schulter-
klappen und weißer Paspelierung eingeführt/
Vareuse Mod.1907/10, vareuse Mod.1913
(coupe Landsturm) ou Vereinfachter Feldrock
Mod.1914 (Bavière Mod.1915). Tous en couleur
Feldgrau. Boutons avec symbole du royaume
(lion pour la Bavière, couronne pour la Prusse,
etc.). Pattes d'épaulettes avec numéro de régi-
ment en rouge. À partir de 1915, mis à part
quelques exceptions, le paspoil des pattes
d'épaulettes devint blanc pour toute l'armée.
Pour rationaliser les coûts de fabrication, l'armée
allemande introduisit la Feldbluse Mod.1915
(Bavière Mod.1916) en tissu feldgrau et avec
des pattes d'épaulettes à pasepoil blanc plus
étroites.

6.Hose steingrau Mod.1907/10 mit seitlichen
Vorstößen (Paspelierung) in ponceaurot.
Die Hose wurde mit Hosenträgern getragen.
Feldgraue Hosen ohne Vorstöße erst ab 1917.
Feldgraue Hosen mit Vorstöße sind nicht
authentisch!/
Pantalon gris-pierre Mod.1907/10 avec paspoil
latéral de couleur rouge. Les pantalons se
portent avec des bretelles. Les pantalons
Feldgrau sans paspoil rouge peuvent éventuel-
lement être porté à partir de 1917. Les pantalons
Feldgrau avec paspoil rouge ne sont pas
authentiques !

7.Infanteriestiefel (Knobelbecher) aus schwarzem
Leder mit genagelter Ledersohle. Bei späterer
Darstellung können auch schwarze Schnür-
stiefel mit Wickel- oder Ledergamaschen getra-
gen werden. Stiefel mit Gummisohlen sind nicht
authentisch!/
Bottes de marche en cuir de couleur noire avec
semelle cloûtée. Les chaussures de cuir noir à
lacet accompagnées de bandes molletières
peuvent être portées lors des reconstitution
des années 1917-18. Les bottes avec des
semelles en caoutchouc ne sont pas authen-
tiques !

8.Koppel aus schwarzem Leder mit Kasten-
schloss aus feldgrau lackiertem Eisenblech mit
eingeprägtem Landesmotto/
Ceinturon en cuir noir et boucle de ceinturon
peinte en feldgrau avec symblole de duché ou
de royaume.

9.Das Lederzeug wurde ab mitte 1915
geschwärzt /
À la mi-1915, tous les éléments en cuir furent
teintés en noir.

10.Brotbeutel Mod.1888 und Brotbeutelriemen
aus wasserdichtem, braunem Baumwollstoff mit
einer auf der Außenseite angebrachten Feldflas-
chenbefestigung, bestehend aus einem
eisernen, vernickelten Ring zum Einhängen der
Feldflasche und einer darunter angebrachten
Lederschlaufe zum Durchziehen des Knopf-
riemens der Feldflasche. Ab 1915 wurden die
Brotbeutel aus grauem, wasserdichtem Baum-wollstoff getragen. Brotbeuteln mit zwei Feld-
flaschenbefestigungen sind nicht authentisch!/
Brobeutel (musette à pain) Mod.1888 et
bretelle de musette en coton de couleur
brunâtre étanche avec une fixation sur le côté
gauche pour la gourde. À partir de 1915, le coton
des musettes fut teinté en gris.
Les modèles possèdant deux fixations ne sont
pas authentiques !

11.Feldflasche Mod.1893 oder 1907, beide aus
Aluminium. Die Feldflasche ist mit braunem
Filzbezug überzogen /
Gourde Mod.1893 ou 1907 en aluminium.
La gourde est recouverte d'une enveloppe de
feutrine brunâtre.

12.Trinkbecher Mod.1893 aus Aluminium.
Der Trinkbecher wird im Brotbeutel mitgeführt.
In der zweite Hälfte des Krieges wurden email-
lirte Becher in gleicher Form gefertigt. An der
Seite hatten sie einen großen, nicht klapparen
Bügel. Wenn man diese im Reenactment benut-
zen möchte und auch daraus trincken möchte,
sollte man beim Kauf auf Eines aufpassen. Und
zwar auf Roststellen in der Innerseite/
Gobelet Mod.1893 en aluminium. Le gobelet
trouve sa place dans la musette à pain. Des
gobelets en tôle émaillée, de même forme furent
mis en production dans la deuxième moitié de la
guerre. Ils possèdent sur le côté une grande
poignée non repliable. Si l'on souhaîte les utli-
liser dans le cadre de la reconstitution comme
récipient à boisson, il est recommandé de veiller
à l'absence de rouille sur les faces internes.

13.Kochgeschirr Mod.1910 oder 1915. Das Koch-geschirr wird auf die Klappe des Tornisters,
Deckel nach rechts, geschnallt /
Kochgeschirr (gamelle) Mod.1910 ou 1915.
La gamelle se fixe sur le dessus du sac à
dos, couvercle regardant vers la droite.

14.Spaten Mod.1898 oder Beilpicke. Zur Standard
ausrüstung trugen die Soldaten den Spaten.
Dieser wurde in einer Ledertasche zusammen
mit dem Bajonett am Koppel getragen. Teilweise
wurde auch die Beilpicke von Soldaten mitge-
führt. Klappspaten sind nicht authentisch! /
Pelle Mod.1898 ou pioche. La plupart des
soldats portaient des pelles. Cette dernière était
portée au ceinturon avec un porte-pelle en cuir
ensemble avec la baönette. Mais la pioche était
également présente, quoique plus rarement.
Les pelles pliantes ne sont pas authentiques !

15.Troddel. Die Troddel ist das Erkennungs-
zeichen der Kompanie. Ein Muss. Jeder Soldat
ist verpflichtet, eine Troddel am Koppelschuh zu
tragen.Trug ein Soldat keine Troddel, war dies
ein Zeichen dafür, dass er bestraft wurde! /
Dragonne. Insigne de la compagnie. Un must.
Chaque soldat doit porter sa dragonne au porte-
baïonette. Pas de dragonne est le signe que
le soldat a été puni !

16.Tornister (Affe) Mod.1895, 1907, 1913.
Beim Mod.13 wurden der Deckel und die untere
Klappe bereits aus Segeltuch hergestellt.
Bei Kriegsbeginn wurde das Kalbfell durch
wasserdichtes Segeltuch ersetzt. Alle Tornister
haben einen mit Stoff verkleideten Holz- oder
Geweberahmen. Die Trage- und Hilfsriemen
sowie die Mantel- und Kochgeschirriemen waren im Frieden lohgar (braun). Ab 1915 wurden alle
Lederteile geschwärzt. In und auf dem Tornister
wurden die Wäsche, Schnürstiefel, Putzzeug,
eiserne Ration, Waschzeug, Zeltausrüstung,
Mantelrolle, Essgeschirr, usw. mitgeführt.
Tornister ohne einen mit Stoff verkleideten Holz-
oder Gewebe- rahmen sind nicht authentisch! /
Tornister (sac à dos) Mod.1895, 1907, 1913.
À partir de 1913, le couvercle et le rabat
inférieur ont été fabriqués en toile. Dès le début
de la guerre, le poil le poil de veau a été rem-
placé par de la toile étanche.Tous les sacs à
dos sont confectionnés avec un cadre en bois
recouvert de tissu. Les lanières de cuir compo-
sants le sac à dos passent en 1915 de la cou-
leur cuir fauve à noir. Dans et sur le sac,
le soldat y porte le linge, une paire de chaus-
sures basses, les outils de nettoyage, la "por-
tion de fer", un nécessaire de toilette, l'équipe-
ment de la tente individuelle, le manteau,
la gamelle, etc…
Les sacs à dos non pourvus d'un cadre en bois
garni de tissu ne sont pas authentiques !

17.Patronentaschen Mod.1909. Ab 1915, an der
Front wird häufig das Modell 1909 benutzt.
Diese Patronentaschen werden auch wie das
ganze Leder im selben Jahr (1915), geschwärzt/
Cartouchières Mod.1909. Dès 1915, c'est le
modèle 1909 que l'on rencontre le plus souvent
au front. Ces cartouchières tout comme le reste
des éléments en cuir sont durant la même an-
née (1915), teintées en noir.

18.Gasschutzmaske 1915 (Linienmaske). Diese
erste Gasmaske bestand aus einem einseitig
gummierten, gasundurchlässigen Baumwollstoff.
Rahmenmaske 1916. Da das Anpassen der
Linienmaske oft Schwierigkeiten bereitete,
wurde die Rahmenmaske eingeführt. Es wurde
die Maske in drei Großen (I, II, III) ausgegeben.
Ledermaske (Gasmaske 17). Durch die
schlechte Rohstofflage trat großer Mangel an
Gummi auf. Deshalb wurde Mitte 1917 die aus
chromgegerbte mit verschiedenen Ölen gasun-
durchlässig imprägnierte Maske aus Schafsleder
ausgegeben.
Gasmaske 18. Gegen Kriegsende kam noch ein
verbessertes Gasmaskenmodell heraus. Diese
Maske schmiegte sich noch besser an das
Gesicht. Die Kopfriemen wurden erheblich
verbessert, so dass diese Maske einen guten
Sitz auf dem Kopf hatte.
Bereitschaftsbüchse und Tasche. Anfang 1915
wurde die Maske ohne Behälter geliefert. Man
verstaute sie im Brotbeutel oder behalf sich mit
einer Konservenbüchse. Noch 1915 wurde
eine graue Segeltuchtasche mit einer Blech-
büchse in der die Maske und der Atemeinsatz
untergebracht war, ausgegeben. Auf der Rück-
seite der Tasche befanden sich zwei Koppel-
schlaufen mit Zinkknopf. Sie wurde meistens
hinten am Koppel unter dem Tornister getragen.
Mitte Juni wurde eine umgearbeitete, feldgrau
gestrichene Bereitschaftsbüchse mit abnehm-
barem Deckel mit Klemmverschluss ausge-
geben/
Gasschutzmaske 1915. Ce premier masque à
gaz était constitué d'un tissu de coton étanche
aux gaz avec une couche de caoutchouc.
Rahmenmaske 1916. Ce modèle fut introduit
pour palier aux difficultés de port du premier
modèle. Il fut distribué en trois tailles (I, II, III).
Masque de cuir (Gasmaske 17). Pour palier au
manque de matières premières (caoutchouc).
L'on introduisit mi 1917, un masque fait en cuir
de mouton.
Gasmaske 18. Un dernier modèle apparut vers
la fin du conflit. Cette version de masque à gaz
épousait nettement les contours du visage,
grâce à l'amélioration des courroies.
Boîte métallique et sacoche. Début 1915, les
masques étaient délivrés sans récipient. Les
masques étaient portés dans la musette à pain,
ou une boîte de conserve servait de récipient de
transport. La même année 1915 fut distribuée
une sacoche de tissu gris avec une boîte mé-
tallique dans laquelle le masque et les filtres
trouvaient place. À l'arrière de la sacoche se
trouvaient deux passants avec des boutons en
zinc. On l'a portait généralement derrière au
ceinturon sous le sac à dos. À la mi juin une
nouvelle boîte métallique peinte en feldgrau et
possèdant une fermeture à clip, entrait en do-
tation.

19.Fußlappen. Die einfachen Soldaten trugen
Fußlappen in den Infanteriestiefeln. Die Fuß-
lappen waren aus Leinen- oder Baumwollstoff
hergestellt. Das galt auch für die Unteroffiziere.
Für die Darstellung können aber graue Socken
angezogen werden. Nach Möglichkeit, keine
bunten Socken! /
Fußlappen (chausettes russes). Les simples
soldats portaient les Fußlappen dans les bottes
de marche. Elles étaient fabriquées en lin ou en
coton. Ceci était également valable pour les
sous-officiers. Pour la reconstitution, l'on peut
porter des chausettes grises. Si possible, éviter
les chausettes de couleurs !

20.Unterhosen und Hemd. Diese Bekleidungs-
teile sieht man zwar nicht wenn man die Uniform
trägt, aber sie gehören unbedingt zur Grund-
ausstattung eines Soldaten. Es empfiehlt sich
nach alten Bekleidungsteilen zu suchen. Hem-
den und Unterhosen sind noch auf Flohmärkten
zu finden. Bei den Hemden kann man auch
weiße Trachtenhemden ohne Stickerei und ohne
Kragen über Trachtenhersteller beziehen.
Jeder Soldat besaß zwei Stück von der Unterbe-
kleidung.
T-shirts oder moderne Hemden sind nicht
authentisch! /
Caleçon et chemise. Bien que ces deux pièces
de vêtements ne soient pas visibles lorsque l'on
porte l'uniforme ; il n'en demeure pas moins
qu'elles font partie de l'équipement de base.
Le mieux est de trouver de vieux vêtements.
Chemises et caleçons se trouvent encore aisé-
ment sur les marchés aux puces. Chaque soldat
possèdait deux pièces de chacun.
Les t-shirts et autre chemise moderne ne
sont pas authentiques !

21.Mantel Mod.1915. Ab 1915 schuf man den
feldgrauen Einheitsmantel Mod.1915 mit einheit-lichem Schnitt. Der Einheitsmantel hob alle
bislang bestehenden unterschiedlichen Mäntel
für Berittene und Unberittene, Offiziere und
Mannschaften auf und war von allen Dienst-
graden und Truppen zur Feld- und Friedens-
uniform zu tragen.
Schnitt und Farbe waren dem Mannschafts-
mantel angeglichen und waren auf die Kriegser-
fahrungen zurückzuführen. Er bot einen bes-
seren Schutz und mehr Bewegungsfreiheit.
Wird der Mantel vom Soldaten getragen, müs-
sen Koppel, Patronentaschen, Seitengewehr,
Schanzzeug, Brotbeutel und Feldflasche über
dem Mantel liegen. Wird der Mantel nicht ge-
tragen, ist er, zusammen mit der Zeltbahn, auf
den Tornister geschnallt.
Da Veranstaltungen bei schlechter und kalter
Witterung durchgeführt werden, ist es von Vorteil
sich einen Mantel zu beschaffen/
Manteau Mod.1915. À partir de 1915, le man-
teau feldgrau standard Mod.1915 fut introduit.
Avec ce modèle, disparaissent tous les diffé-
rents modèles de manteaux existants des trou-
pes montées et à pied, ainsi que ceux des
officiers et des hommes de troupes. Il est à
porter par tous avec l'uniforme de combat ou
de paix.
Le nouveau manteau était développé à partir des
expériences acquises lors des combats. Il offrait
une meilleure protection et plus de liberté de
mouvement.
Dans le cas ou le manteau est porté, ceinturon,
cartouchières, baïonette, pelle, musette à pain
et gourde doivent reposer sur le manteau. Si le
manteau n'est pas porté, il est enroulé et fixé
avec la toile de tente sur le sac à dos.
Comme certaines manifestations se déroulent
par mauvais temps, il est avantageux de pos-
sèder un manteau.

22.Zeltausrüstung Mod.92. Zur Ausstattung aller
Unteroffiziere und Mannschaften der Fußtruppen
gehörte eine Zeltausrüstung. Die tragbare Zelt-
ausrüstung 92 bestand aus der Zeltbahn mit
Zeltleine, dem dreiteiligen Zeltstock und drei
Zeltpflöcken („Heringen“).
Die Zeltbahn von 165x165 cm Größe bestand
zunächst aus braunem wasserdichtem Baum-
wollstoff. Schon bald nach Kriegsbeginn stellt
sich heraus, dass die außen auf dem Tornister
geschnallten Zeltbahnen zu auffällig waren und
ein gutes Ziel boten. Um die unvorteilhafte rot-
braune Färbung zu beseitigen, wurde im Oktober
1914 eine neue Zeltbahn aus grauem Stoff mit
Knöpfen aus Messing eingeführt/
Équipement de tente individuelle Mod.92.
Tous les sous-officiers et soldats des troupes à
pied emportaient avec eux un équipement de
tente individuelle. L'équipement 92 était cons-
titué de la toile de tente, de cordelettes, d'un
mât en trois parties et de trois piquets.
La toile de tente (165x165cm) était au début
confectionnée dans un tissu de coton étanche
de couleur brunâtre. Au début du conflit, la toile
de tente de cette couleur représentait un incon-
vénient une fois fixée sur le sac à dos. Elle était
trop visible. Ainsi, dès octobre 1914, une nou-
velle toile de tente à dominante grise et com-
prenant des boutons en laiton fut mise en
fabrication.

23.Seitengewehre Mod.1898/05 oder 1888/98.
Die Seitengewehre Mod.98/05 und 88/98 können
für Darstellungen des Zeitraums zwischen 1915
und 1918 benutzt werden.
Die Modelle 88/98 können in Darstellungen ab
dem Jahr 1916 getragen werden. Diese sind
auch unter der Bezeichnung "Notbajonet" oder
"Ersatzbajonet" bekannt. Sie sind ganz aus
Metall hergestellt (Bajonet und Scheide).
Alle Seitengewehre sind mit Hilfe des Koppel-
schuhs am Leibriemen (Koppel) zu tragen.
Am Koppelschuh ist auch die Kompanietroddel
in der entsprechenden Kompaniefarbe ange-
bracht/
Baïonettes Mod.1898/05 ou 1888/98.
Les baïonettes mod.98/05 et 88/98 sont à uti-
liser dans le cadre de reconstitutions de la
période entre 1915 et 1918.
Les baïonettes modèle 88/98 peuvent être
portées à partir de 1916. Ces dernières sont
également connues sous le termes "Notbajonet"
ou "Ersatzbajonet". Elles sont entièrement fa-
briquées en métal (baïonette et fourreau).
Toutes les baïonettes doivent être portées au
ceinturon à l'aide du porte-baïonette. Sur ce
dernier, se noue également la dragonne de
compagnie avec la couleur propre à chaque
compagnie.

24.Gewehr Mod.1898 oder 1888. Das Gewehr war
die Hauptwaffe der Infanterie, Jäger, Schützen
und Pioniere. Zu Kriegsbeginn war das Gewehr
98 am weitesten verbreitet. Das Kaliber betrug
7,9 mm, die Länge 125 cm und das Gewicht im
ungeladenen Zustand 4,1 kg. Die Landwehr- und
Landsturmformationen waren mit dem älteren
Gewehr 88 ausgerüstet. Während des Krieges
musste es aus Mangel an Gewehren auch an
aktive Infanterieregimenter ausgegeben werden.
Das 125 cm lange Gewehr vom Kaliber 7,9 mm
wog ungeladen 3,8 kg.
Bei Infanteriedarstellung vor 1907 kann das
Gewehr 88 auch benutzt werden/
Gewehr Mod.1898 ou 1888. Le Gewehr était
l'arme principale de l'infanterie, des chasseurs et
des sapeurs. Le Gewehr 98 était au début du
conflit l'arme la plus répandue. Il avait un calibre
de 7,9 mm, une longeur de 125 cm et un poids
non-chargé de 4,1 kg. Les unités de Landwehr et
de Landsturm étaient équipées avec une arme
plus ancienne : le Gewehr 88. Ce dernier, suite à
une pénurie de Gewehr 98 fut également distri-
bué à des troupes actives. D'une longeur de 125
cm, d'un calibre de 7,9 mm, l'arme pesait 3,8 kg.
Le Gewehr 88 peut être aussi utilisé lors de re-
constitutions d'avant 1907.

Fotos © DSM